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Vidéo reportage d'entreprise : filmer l’humain derrière la marque.

  • Photo du rédacteur: Mickael de Story Film
    Mickael de Story Film
  • 27 févr.
  • 4 min de lecture

Dernière mise à jour : 26 mars


Portrait de créatrice : vidéo reportage d'entreprise dans l’atelier de Lucrèce Falcoz


Quand Virginie Racano m’a parlé de Lucrèce Falcoz, créatrice chez Cymbeline, j’ai tout de suite été emballé. Il est vrai que découvrir les back-stage d'une créatrice est toujours trés passionnant et inspirant. Au moment de la rencontrer, elle préparait une collection autour des Jeux Olympiques de Paris, un thème exigeant à traduire en robes de mariée.

Mais ce qui m’a surtout accroché c'est la place qu’elle occupe, discrètement, derrière une marque installée dans le paysage de la mode nuptiale. Lucrèce ne se met pas en avant. Elle travaille, elle dessine, elle assemble. C’est ce genre de profil que j’aime filmer : les artisans de l’ombre, ceux qui font mais qu’on ne voit jamais dans les campagnes de communication.


Tournage à Paris dans l'atelier.


Le tournage a commencé à Paris, dans son atelier. Pas un lieu “instagrammable”. Un espace de travail, fonctionnel. Des mannequins, des tissus, des patrons, un coin bureau.

Avant même d’allumer la caméra, j’ai pris le temps d’écouter. Lucrèce m’a parlé de son parcours, de sa formation à Duperré, de ses années dans des maisons de couture, puis de son rôle chez Cymbeline. Là, elle ne crée pas pour une image, elle conçoit pour des femmes qui vont porter sa robe le jour de leur vie.


Ce qui m’a marqué, c’est sa manière de parler du corps, de la coupe, du tombé. Ce n’est pas une démarche artistique au sens classique. C’est une précision, une technique. Elle pense une robe comme une structure vivante, adaptée à une silhouette réelle, pas à un dessin.



femme qui fait de la couture
L'atelier de Cymbeline à Paris.

2. À Barcelone, sur le fil


La deuxième partie du film s’est jouée à Barcelone, pendant la Bridal Fashion Week. Autant dire, un contexte bien moins intime. C’est là que j’ai dû changer de rythme. Pas le droit à l’erreur. Pas de deuxième prise. Des modèles qui passent, des équipes qui courent, des changements de tenues, des lumières qui bougent.

Mon travail, dans ce genre d’environnement, c’est de me faire oublier. D’anticiper les déplacements, de capter les gestes sans gêner la mécanique en place.

Et c’est là que Lucrèce m’a surpris. Dans ce chaos, elle restait concentrée. Elle retouchait une bretelle, réajustait un voile, observait une démarche. Elle savait exactement ce qu’elle voulait, sans hausser le ton. Une présence discrète mais assurée, qu’on devine dans le film.



défilé de mode J.O
Un défilé sur le thème des J.O de Paris

3. Une vidéo pour valoriser les talents


Ici il ne s'agit pas d'un contenu “brandé”, ni une vidéo pub. C’est un reportage, pensé pour montrer ce que la marque ne montre pas forcément habituellement : les femmes et les hommes qui la construise, les choix, les tensions.

Cymbeline a eu l’intelligence – et la confiance – de laisser cette place-là à Lucrèce. Et c’est là que le film devient un levier de communication, pas parce qu’il vante un produit, mais parce qu’il raconte un point de vue, une manière de faire. Ça intéresse, ça inspire. C’est utile, en interne comme en externe.



Le film portrait de Lucrèce Falcoz, créatrice chez Cymbeline.


Mon approche documentaire : filmer une entreprise dans sa réalité.


Je ne construis pas ce type de film à partir d’un script, mais à partir du réel. Mon approche repose sur l’observation, l’écoute, et l’adaptation aux conditions de terrain. Je prépare, bien sûr, mais je ne verrouille rien. L’objectif, c’est de restituer une situation de manière juste, sans surcadrer, sans forcer.


Si vous êtes une marque ou une entreprise qui veut donner de la place aux personnes qui la construisent de l’intérieur, le format reportage peut faire sens. Ce n’est pas un outil magique, ce n’est pas de la com déguisée. C’est un regard. Et c’est parfois ce qu’il manque.


Et vous ? Une idée de reportages sur les hommes et femmes qui écrivent l'histoire de votre entreprise ?

Contactez moi pour en parler ...



FAQ – Vidéo reportage pour les marques


Qu’est-ce qu’un vidéo reportage entreprise ?

C’est un format de film immersif qui montre une entreprise à travers son quotidien, ses équipes, son savoir-faire. Il se base sur le réel, sans mise en scène.


Quelle est la différence entre un reportage vidéo et un film corporate classique ?

Le reportage s’appuie sur la réalité du terrain, là où le film corporate suit un message plus contrôlé. Le reportage permet de valoriser l’humain et la culture d’entreprise avec plus de justesse.


Dans quels cas utiliser un portrait documentaire en entreprise ?

Pour mettre en lumière un collaborateur, un artisan, un dirigeant. Ce format renforce la confiance, donne un visage à la marque, et s’intègre bien dans une stratégie RH ou marque employeur.


Comment se déroule la production d’un vidéo reportage entreprise ?

1. Préparation : repérage, cadrage des objectifs, planning

2. Tournage : interviews, captation des gestes, immersion réelle

3. Montage : structure narrative, habillage, finalisation sur mesure


Quel est le coût d’un vidéo reportage entreprise ?

Le tarif dépend de la durée du tournage, du nombre de lieux, et du niveau de montage. Des formules adaptées existent pour les portraits, films de marque ou reportages plus complets.


Où intervient Story Film pour ce type de projet ?

Basé à Grenoble, je me déplace partout en France et à l’international. J’interviens pour des marques locales comme pour des événements internationaux, comme la Bridal Fashion Week de Barcelone.


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